QUI SUIS-JE ?
LE CABINET DE PSYCHOLOGIE
Locaux
Je vous accueille dans un endroit calme et discret dans une ambiance relaxante.
Le cabinet dispose d’une salle d’attente et d’un bureau de consultation avec possibilité de méditation.
Ma personne en quelques mots
Mes études
Marquée par le personnage emblématique de Raoul Follereau, l’initiateur de la lutte contre la lèpre, je me suis engagée vite au service des autres. En tant que présidente du comité d’élèves du lycée au « Fieldgen » j’ai eu, en effet, l’immense chance de le rencontrer personnellement et d’avoir été témoin de sa force à combattre la misère, l’injustice sociale, le fanatisme quel qu’il soit. Comme monitrice bénévole aux colonies de vacances organisées par la Caritas pour les enfants dans le besoin, j’ai découvert la richesse des contacts y noués avec mes petits protégés et le plaisir de les encadrer par des activités pédagogiques. Les relations amicales et d’entraide établies avec mes camarades au pensionnat du lycée firent mûrir en moi la décision de faire des études de psychologie à l’Université de l‘Etat à Liège. Plus précisément la psychologie clinique, qui s’intéresse à l’être humain dans sa singularité et pas seulement dans sa maladie, tout en recherchant la cause des troubles psychiques.
« Aider, c’est d’abord comprendre : donc écouter », une des devises de Raoul Follereau que je fis mienne et qui me guide jusqu’à ce jour dans ma grande disponibilité d’écoute.
Tant les stages en psychiatrie, dans des structures d’accueil et services de psychologie pour enfants ainsi qu’auprès de familles d’accueil pour enfants, que les expériences en psychologie et éthologie animale ont aiguisé ma faculté d’observation. J’ai également appris à maîtriser des techniques de diagnostic de la personnalité et de ses troubles.
Une spécialisation en dynamique des groupes et communication interpersonnelle m’a sensibilisée au fonctionnement des relations interindividuelles dans le cadre de la vie professionnelle et sociale.
La réussite de mon mémoire de licence « Enfants en placement familial : Relations familiales et image de soi » avec la mention « grande distinction » fut finalement une grande motivation pour me lancer dans la vie professionnelle.
Ma vie professionnelle
Mon parcours professionnel m’a, tout d’abord, amenée à exercer comme consultante psychologique externe dans des institutions d’hébergement pour handicapés mentaux et des centres d’accueil avec hébergement pour enfants et jeunes à problèmes psychopédagogiques et sociaux, pour me faire accepter ensuite le poste de responsable du service de placement familial « Fir ons Kanner ». L’encadrement d’enfants placés par le juge au sein de familles d’accueil et l’accompagnement de gardiennes de jour d’enfants pendant l’activité professionnelle des parents m’ont permis d’élargir mon expérience et mes connaissances en droit social et familial.
En tant que directrice de la Fondation Pro Familia, une institution avec hébergement comprenant un foyer d’accueil et de dépannage pour enfants à risque psychosocial aigu ou en situation de maltraitance ainsi qu’un centre d’accueil pour femmes battues (avec leurs enfants) ou en détresse psychosociale, j’ai non seulement complété mes compétences en encadrement thérapeutique d’enfants troublés, en gestion de crises familiales et de situations de violence familiale, mais également en gestion d’entreprise et d’équipes professionnelles. L’extension des activités par un centre de formation psychosociale et un service de consultation et de suivi psychosocial et, plus tard, par l’offre de médiation familiale, témoignent d’une conception globale du travail psychosocial et d’une approche multidisciplinaire qui me sont, encore aujourd’hui, tant chères.
Outre l’acquisition de connaissances solides en droit du travail et en informatique, des formations continues régulières et des voyages d’études en matière de management, d’approches psychopédagogiques et thérapeutiques furent de mise afin de me perfectionner et de me mettre en mesure d’innover.
Ayant été appelée aux hautes fonctions de Conseiller de Gouvernement au Ministère de la Famille, j’y ai assumé pendant 7 ans, e.a. la responsabilité du Département Enfance et Famille, y inclus la promotion des droits de l’enfant et la conception de la mise en pratique de la loi dite ASFT, réglant les relations entre l’Etat et les organismes œuvrant dans les domaines social, familial et thérapeutique, jusqu’à mon élection à la Chambre des Députés.
Par la même occasion, j’ai pu participer activement à des conférences et tables rondes au sujet de thèmes familiaux et psychosociaux.
Mon parcours politique
Très attachée à Dudelange, ma ville natale que j’habite toujours, le combat pour les familles et contre les injustices sociales m’a poussée à m’engager en politique locale d’abord, où je siège au sein du conseil communal depuis presque 20 ans pour le parti chrétien social (CSV).
Mon parcours politique s’est ensuite poursuivi au niveau national. Elue députée sans interruption pendant 13 ans jusqu’en 2018, mon fort en politique sociale m’a amenée à m’investir e.a. dans les commissions parlementaires de la famille, de l’éducation, du logement, du travail et de la sécurité sociale. Passionnée par les sujets de la santé, spécialement de la santé psychique, et de l’égalité des chances, dont la violence domestique et les discriminations, je fus vice-présidente de la Commission de la Santé, de l’Egalité des Chances et des Sports. La participation active à l’élaboration des lois fut très enrichissante et m’a fourni une vue d’ensemble de notre contexte législatif actuel.
Autres expériences
Mon engagement au niveau de diverses associations professionnelles, dont l’A.D.C.A., l’Association des Directeurs de Centres d’Accueil, à la tête de laquelle j’ai figuré comme première femme, m’a permis de faire mes preuves dans la défense des droits professionnels par la négociation avec les instances officielles.
Je me suis particulièrement ralliée à la cause des droits de l’enfant dont a pu naître, entre autres, le projet « Action Bobby », en collaboration étroite avec la police judiciaire, à l’adresse d’enfants maltraités et abusés sexuellement. Défendre les droits de la femme et, surtout, combattre les violences envers les femmes, devinrent tout aussi naturellement prioritaires pour moi. Ainsi, je me suis impliquée dans la formation des éducateurs gradués et des agents de police de même que du monde judiciaire.
Ma vie a été marquée par des mandats bénévoles, tant au sein de mon parti, qu’au service d’associations sociales, telle que la Croix Rouge (vice-présidence de la section locale), d’initiatives culturelles comme le Festival International des Amis de l’Orgue, d’associations comme le Coin de Terre et Foyer et l’Union des Sociétés Avicoles du Grand-Duché de Luxembourg en particulier, dont je fus la présidente nationale pendant 10 ans. Depuis 2003 je suis membre- fondatrice du premier Service Club Rotary mixte au Luxembourg, le Rotary Schengen-Mondorf.
En 2015 je fus appelée à la présidence du jury du Mérite Elsy Jacobs, un prix dedié tous les ans à une ou plusieurs personnes bénévoles s’étant particulièrement distinguées au service du sport féminin.
Depuis juin 2019, je suis membre du conseil d'administration ZithaSenior S.A. et depuis janvier 2021 je préside, dans ce cadre, l'a.s.b.l. ZithaUnit nouvellement créée qui a comme mission l'encadrement psychiatrique extrahospitalier à long terme.
Pratiquer la marche à pied et le jardinage, loisirs proches de la nature, tout comme faire du vélo et de la gymnastique, sont des activités dont je profite pour me ressourcer.
Le Cabinet de psychologie
Suite aux élections législatives d’octobre 2018, vint le moment pour moi de réaliser un projet de vie dont je rêvais depuis longtemps : m’installer comme indépendante dans mon propre cabinet de psychologie.
Pour le dire avec Confucius : « Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie ».
POURQUOI UN PSYCHOLOGUE ?
La psychologie est devenue omniprésente dans notre société moderne et constitue une discipline à multiples facettes. On la retrouve de nos jours dans autant de domaines que l’éducation, le milieu scolaire, la santé, la gérontologie, la traumatologie, le monde du travail, la justice et l’environnement militaire et policier, le sport, la circulation et le transport.
Il persiste toujours de nombreux préjugés et de réticences par rapport à la psychologie et envers les psychologues. « Ce sont eux-mêmes tous des fous !», « Attention, ils lisent vos pensées », « Qu’en dites-vous en tant que psychologue ?», « Je ne suis pas un fou », autant de commentaires qui circulent à ce sujet et qui sont souvent véhiculés de manière non nuancée par les médias.
La psychologie s’intéresse cependant au comportement, au vécu humain et aux processus mentaux en général et non seulement aux aspects déviants ou « a-normaux ». C’est une discipline qui observe tout d’abord et qui exige toute une série de compétences qui permettent d’analyser avant de passer à l’interprétation et, ensuite, à l’intervention. Elle a gagné en importance dans le domaine de la recherche et trouve son application dans la vie quotidienne.
La santé psychique de l’être humain constitue, ensemble avec la santé physique, la condition sine qua non pour le bien-être et la qualité de vie de l’homme. Elle représente un élément-clé de la santé humaine et comprend divers aspects comme le bien-être, la satisfaction, l’estime de soi, la capacité relationnelle, la maîtrise du quotidien et la capacité de travail. De nombreux facteurs externes (environnement socio-économique) et/ou internes (de nature constitutionnelle) déterminent l’interaction entre les ressources cognitives et émotionnelles d’une personne et ses ressources externes ainsi que les épreuves vécues tout au long de la vie. C’est ce qui explique que différentes personnes peuvent se comporter différemment sous des conditions apparemment identiques. Les besoins et motivations peuvent différer d’une personne à l’autre et déclencher des comportements distincts afin d’être satisfaits. Le passage entre les différentes étapes de la vie, telles que l’adolescence, la fondation d’une famille ou le vieillissement, constituent des moments de tension intense. De même, certaines situations de vie pénibles ou de crise, surtout si elles perdurent, risquent d’engendrer des tensions qui provoquent un mal-être ou une véritable souffrance psychique pouvant se manifester par une série de symptômes, comme e.a. des angoisses, de l’agressivité, des états dépressifs.
Un psychologue diplômé, disposant d’un master en psychologie, peut aider dans ces cas et fournir un cadre à la personne pour aborder la situation problématique sous un angle neutre et professionnel. Trouver le psychologue de son choix avec lequel le client peut construire une bonne relation de confiance, est primordial pour ce dernier. Un psychologue n’est pas un médecin. Il n’est donc pas autorisé à prescrire des médicaments. Il a acquis de bonnes connaissances générales en sciences humaines et est spécialisé à la fois dans une des branches, comme la psychologie clinique, la psyxhologie de la santé, la psychologie sociale, ou la psychologie pédagogique et développementale.
MES VALEURS
Approche
Mon approche professionnelle est l’écoute empathique qui me permet de reconnaître votre souffrance et vos besoins et de me mettre « dans votre peau ». Il s’agit d’une écoute face à face, dans le respect et sans jugement de valeur, sur laquelle peut se construire une relation de confiance dans l’authenticité.
Ma formation de psychologue clinicienne m’a familiarisée avec différentes techniques d’entretien, d’animation de groupe et d’examen de la personnalité ainsi qu’avec des méthodes spécifiques de soin psychologique et d’accompagnement.
L’approche psycho-dynamique a le regard tourné vers le vécu inconscient et le comportement du client dont la souffrance peut trouver son origine dans des conflits intérieurs non résolus ou des traumatismes.
L’approche humaniste base sur une bonne relation de confiance entre le psychologue et le client, qui permet de clarifier la situation par le dialogue et qui présuppose une volonté d’introspection de la part de ce dernier afin de mobiliser les ressources inhérentes à sa personne.
L’approche systémique tient compte de l’ensemble de l’environnement du client, des « systèmes » dans lesquels il vit.
L’approche cognitivo-comportementale est centrée sur le vécu actuel et le comportement du client, lequel peut être amené à lâcher ses représentations conventionnelles et s’entraîner à de nouvelles réactions comportementales. J’ai récemment approfondi mes connaissances en entraînement à la pleine conscience et à la réduction du stress (MSBR, Mindfulness based stress reduction) et en thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT) (MBCT, Mindfulness based cognitive therapy). Cette pratique aide à développer la sérénité, la santé mentale, le bien-être et l’équilibre dans des vies très stressantes et parfois douloureuses de personnes jeunes et moins jeunes.
Selon les besoins du client, l’une ou l’autre approche est mieux adaptée, ce qui m’amène à rester flexible quant à la méthode à laquelle j’ai recours.
En tous cas, je préconise une vision globale de la personne, donc de son psychisme et de son corps pris dans leur ensemble. Je la perçois comme individu en interaction permanente avec son entourage, sa famille, le monde du travail, la société. Pour moi, prévenir vaut mieux que guérir. Il est donc préférable de prendre soin de soi à temps et d’éviter que les problèmes psychiques deviennent chroniques. En outre, ma démarche est multidisciplinaire, de façon que je travaille en réseau avec d’autres professionnels.
Pour plus de détails sur ma formation initiale et mes formations continues, je renvoie au link vers mon CV.
Déontologie - Ce qui m’importe particulièrement
Étant liée au secret professionnel, je vous garantis discrétion et confidentialité. Je m’engage à respecter le code déontologique de la Société Luxembourgeoise de Psychologie (www.slp.lu).